Catégories : Femmes fessées
il y a 9 ans
Une après midi ensoleillée pousse Pierre et Marie hors de leur chambre d'hôtel... Ils sont partis se mettre au vert, loin de la foule et du stress... Trois jours rien que pour eux sans aucune arrières pensés. Envolés les soucis quotidiens, les souvenirs douloureux et l'avenir pas toujours rose. La journée d'hier a été somptueuse et ils se sont plongés comme par magie dans un univers à eux, rien qu'à eux...
La voiture file bon train à travers les petites routes de campagne, elle passe la frontière désormais désertée et à peine signalisée pour suivre son chemin sur le territoire belge. Pierre conduit Marie dans des lieux inconnus d'elle, mais dont il lui a promis un jour de faire découvrir. Ainsi il stoppe le long des arbres et face à un bar nommé « Le Mont Blanc ».
_ Le Mont Blanc, lit d'une voie pensive Marie.
_ Oui, c'est un repère de grimpeur...
_ Ici ? Au milieu de nul part ?
_ Oui, je vais te montrer...
Ils descendent de la voiture pour se réunir et tenant Marie par la main, Pierre l'entraîne dans le sous bois adjacent à la route. Ils seraient venus en période estivale, se garer n'aurait pas été aussi simple et Marie se seraient peut être douté de quelque chose, mais rien ne lui laissait présager ce qu'elle allait découvrir. A peine traverser le sous bois et éviter un chemin plongeant dans une paroi abrupte de terre, ils débouchèrent sur un morceau de rocher pas très large, mais avec une vue qui en coupa presque les jambes à Marie. Du haut de ce perchoir, une falaise descend jusqu'à la Meuse dégageant la vue sur les forêts avoisinantes et sur le château de Freyr de l'autre coté de la rive et son jardin à la française...
_ Ouha... C'est superbe...
_ Oui et tout le long la falaise est équipée pour l'escalade. J'espère que tu as bien mise une culotte sous ta longue robe...
_ Oui ! Mais cela ne te regarde pas...
_ Mais si, et imagine comment le bruit des claques peut se répandre à travers les environs...
Marie en rougit, mais sa taquinerie prit le dessus et elle claqua fortement le pantalon de toile de Pierre.
_ Arrête de rêver..
_ Rébellion... Humm...
_ Quoi ! Mais non ! C'est toi qui provoque...
_ Continue à t'emmêler dans tes paroles...
Marie se tue et dévisagea son compagnon de tout le mépris possible. Elle se tenait droite, face à lui, rigide et stoïque. Mais sont regard dut trahir ses envies et pensées réelles. Pierre y vu des étincelles provocantes qui lui disaient « même pas cap de toute façon... ».
Une claque sonore retentit d'un coup, une robe fut retroussée, une demoiselle se retrouva coincée sous un bras et un boxer blanc apparut au soleil encadrant de magnifiques lobes de chair. Il aurait presque pu faire miroir, mais n'en eu pas le temps et finit sa course au sol entouré autour des chevilles de la belle. Le rose pâle de la chair protégée jusqu'à ce moment, ce transforma bien vite en rouge flamboyant sous la main de Pierre.
_ Arrête, on pourrait nous voir...
_ En effet la vue est dégagée, mais c'est pour ça que je vais faire vite...
« J'aurais du me taire » pensa Marie, mais la pluie de claque qui suivi ne lui laissa pas le temps de repenser, à peine un petit « Stop » sorti de ses lèvres. Ses rougeurs et la chaleur produite, combinée à la possibilité d'être vue ou entendue (à près tout, il y avait bien quelques voitures sur le parking), firent monter son plaisir et laissa perler des gouttes lorsque Pierre prolongea sa maîtrise du rouge par une caresse intime... Instant de délices que cette caresse et le baisé qui suivit. Leurs bras les soudant l'un à l'autre, ils restèrent ainsi un instant suspendu dans leur univers.
Pierre ramassa le boxer qui gisait au sol comme une trace de leur furtive bataille, prit la main de sa belle et la conduisit vers la voiture... Le morceau d'étoffe se retrouva emprisonné dans la boite à gants et au regard malicieux de Pierre, Marie ne demanda même pas à le récupérer. Ils entraient dans une phase de jeu, et elle voulait s'abandonner à lui et aux délires qui suivraient...
La voiture reprit son chemin vers Dinant cette fois, avec une passagère dont la robe était remontée à mi-cuisse et les jambes écartés, ne laissant rien percevoir si ce n'est la rougeur au joues de la belle d'être ainsi exposée. Rougeur qui explosa presque lorsque la voiture passa sur le pont pour rentrer dans la ville, suivi d'un mouvement pour ressouder les cuisses. Gentiment, Pierre posa sa main sur une des cuisses et l'écarta de sa voisine, puis en fit de même avec l'autre, sans un mot, avec juste un regard plongé dans les yeux de Marie. Elle comprit qu'elle n'avait pas le choix et resta ainsi sans oser bouger jusqu'à ce que la voiture se gare de nouveaux. Pierre en sortit et vint à sa portière.
_ He bien ? On est arrivé. Tu n'oses plus bouger ?
_ ........
A se silence qui en disait long sur le trouble présent de la belle, Pierre lui donna un baiser de sûreté et prit sa main. Avant qu'elle ne reprenne complètement ses esprits, ils étaient devant un guichet. Elle entendu son compagnon prendre deux tickets, et se laissa à nouveau entraînée jusqu'au pied d'un escalier immense. Les 408 marches de la citadelle de Dinant se dressaient devant eux.
_ Voilà, puisque tu n'as pas été sage dans la voiture, on va monter par les escaliers et non par le téléphérique...
_ Mais ça semble super long.. Et tu savais que je n'allais pas arriver à rester ainsi dans la voiture...
_ Oui, je le savais, mais ça ne compte pas. Et d'ailleurs pour agrémenter la montée, tu vas la faire robe relevée au dessus des fesses. Avec le droit de la descendre seulement si nous croisons des gens ! Et rassure toi, il y a très peu de gens qui font la monter des 408 marches...
Marie se retourna vers lui. La stupeur de la proposition venait de la sortir de sa torpeur. Ce n'était pas vraiment une proposition, plus une demande, un ordre... En lui laissant son sous vêtement tout à l'heure et en s'abandonnant à lui, elle savait qu'elle s'exposait. Elle en était presque en colère contre elle, contre lui. Il l'énervait avec se don de toujours savoir ce qui allait la gêner, la mettre mal à l'aise... Mais aussi de savoir la convaincre, la guider vers toujours plus...
Elle plongea ses yeux dans les siens, mais en détourna très vite le regard. Il avait mit son masque de dominateur naturel, celui du chasseur froid et calculateur... Elle ne pouvait se rebeller face à ce regard, mais c'est aussi ce qui la faisait avancer et lui procurait tant de plaisir. Alors elle prit sa robe entre ses mains tremblantes. La fit remonter doucement en attaquant les premières marche. Et au premier tournant, hors de vu du guichet, ses fesses encore rouge étaient dévoilées et exposées.
Au fur et à mesure de la monter, sa honte diminua d'autant, et le regard de Pierre qu'elle pouvait deviner, posé, sur son fessier la réconfortait bizarrement... Ses joues prirent la même couleur que le fessier en instant lorsque des visiteurs croisèrent leur chemin. Ses mains avaient lâchées la robe aussi vite que ses réflexes le permettait, mais étais ce suffisant ? Avaient ils eu le temps d'apercevoir quelque chose ?
_ Oui, c'est sur ! Ils t'ont vue cul à l'air ! Remonte ta robe maintenant qu'ils sont passés.
Une phrase de Pierre, et voilà sa raison qui lui disait qu'ils ne pouvaient avoir eu le temps d'apercevoir quelque chose qui s'affaissait complètement faisant remonter cette honte si délicieuse dans ces moments... Pourtant elle se surprit à lui obéir encore une fois et à reprendre la marche.
En vu du plat et de la terrasse, un soulagement la remplit de joie. Pour une fois, Pierre alla dans se sens et vint lui même délivrer la robe des mains crispées, pour la laisser redescendre doucement non sans s'assurer de la température du fessier et de l'humidité avoisinante.
_ Hum, il semblerait que cette montée ne t'ai pas laissée indifférente..
_ Penses tu ! Ce n'est que de la sueur !
_ Mais oui, et moi je suis Charlemagne ! Vient, nous allons visiter...
_ Oui mon petit Charlot...
Marie en était presque abasourdie... Comment pouvait elle encore le provoquer après ça ! Sa taquinerie et ses envies étaient bien plus forte que tout, mais pourvu qu'elle n'ai pas à regretter ses paroles... Du moins, pas pour le moment... Pierre avait de nouveau son visage doux et c'est comme un couple normal et complice qu'ils firent la visite. Non sans évoquer entre eux les possibilités d'un tel endroit pour de magnifiques soirées entre bougies, sévérité, publique passionné et autres agréments...
Ils prirent quelques photos, échangèrent des baisers, s'assirent sur les pierres pour boire un verre. Marie avait retrouvée sa légèreté et toute sa taquinerie dans les rires et la douceur de Pierre. Elle alla jusqu'à prendre la pose, les mains appuyés sur un canon, son fessier courbé et tendu et sa robe relevée jusqu'aux hanches.
L'heure tourna et il était temps de rentrer, ils prirent le téléphérique pour redescendre et se retrouvèrent seuls dans la cabine. Occasion inespérée ou provocation du destin, Pierre décida d'en profiter. Ainsi il plaqua la petite Marie contre une vitre, lui fit courber son corps, remonta la robe et entama une fessée résonnante comme celle d'un cri d'un bonheur.
_ Mais heu... Protesta Marie pour la forme.
_ Ta ta ta... Pas de protestation ! Je te dois un Charlot sur les fesses !
_ Hum.. Si tu y tiens...
Marie avait répondu avec un regard complice et en disant long sur son état de bonheur. Elle se laissait complètement allé désormais, les yeux pétillant de joie et une excitation quasi permanente... La fessée ne stoppa qu'avec l'arrivée de la cabine et le chemin jusqu'à la voiture ne sembla pas assez long pour l'échange de baisés. Une dernière étreinte avec que Pierre ne prenne le volant et Marie sa position de passagère provocatrice, remontant la robe encore un peu plus haut mais cette fois avec un regard excité, amusé et terriblement croquant. Le supplice allait être pour Pierre cette fois, d'arriver à tenir jusqu'à l'hôtel...
Filou
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